Bien aborder les cours particuliers

Les Arcanes de Morrigann: Cours particuliers de tarot et de cartomancie

Vous souhaitez apprendre la cartomancie ? Ces quelques conseils vous aideront à aborder les cours sereinement, et vous donneront un aperçu du type d’investissement et de l’attitude qui vous permettront de tirer le meilleur parti de votre apprentissage et de progresser au mieux.

Pourquoi apprendre ?

Si la réponse à cette question peut sembler évidente à certains, elle ne l’est pas pour tout le monde, bien au contraire ! Pourtant, à l’inverse d’idées reçues tenaces et comme n’importe quelle autre discipline, la cartomancie s’apprend. Utiliser des supports divinatoires, qu’il s’agisse de cartes, de runes ou autres, obéit à des techniques précises et fait appel à un ensemble de connaissances qui nécessite notamment la compréhension des fonctionnements du Monde à travers la place qu’y occupent les plans de l’existence universellement reconnus par les différentes cultures et les grandes traditions spirituelles.

Comme tout art en général et tout art divinatoire en particulier, la cartomancie requiert, pour une pratique efficace, la maîtrise de connaissances, de compétences et de savoir-faire qui demandent que l’on prenne le temps de l’étude et de l’apprentissage si l’on veut profiter de la profondeur et de la richesse auxquelles on accède lors de l’analyse des cartes. Saisir les nuances mises en relief par les tirages que l’on effectue et comprendre les mécanismes des situations que l’on explore n’est possible que si l’on se livre à cette démarche intellectuelle.

La cartomancie fonctionne selon des codes précis et ne se pratique pas n’importe comment. Il convient donc d’acquérir les bons réflexes et de solides connaissances pour construire une pratique saine et structurée. Or, être accompagné par quelqu’un qui connaît déjà cette discipline, avec ses difficultés et ses richesses, aide considérablement l’apprenant dans son parcours en lui permettant notamment de gagner un temps précieux qu’il aurait sinon passé à tâtonner, au risque de se décourager. Les compétences et savoir-faire acquis de façon ordonnée au cours de l’apprentissage lui garantissent une progression constante et solide et lui permettent, plus tard, l’expérience aidant, de personnaliser sa pratique, lui offrant ainsi une grande liberté dans sa façon d’exercer.

Quelles sont les qualités requises pour un apprentissage efficace ?

L’attitude avec laquelle vous abordez votre apprentissage joue un rôle déterminant dans votre progression et, à terme, dans son succès. Aussi, votre démarche sera plus efficace et plus enrichissante si vous adoptez dès le départ l’état d’esprit approprié dont voici les principaux ingrédients.

 

Ouverture d’esprit et curiosité intellectuelle

Durant votre apprentissage, vous allez être au contact de notions, d’idées et de principes dont certains vous seront plus ou moins connus et dont d’autres vous seront inconnus. Certains confirmeront vos convictions et croyances personnelles tandis que d’autres viendront les remettre en question. Voilà qui est tout à fait normal car apprendre la cartomancie, c’est s’ouvrir au Monde et essayer de comprendre autant que possible ses fonctionnements pour réussir à mettre en évidence les mécanismes qui régissent les différents aspects des situations que l’on examine lorsqu’on effectue des tirages.

Par ailleurs, la grande diversité des problématiques que l’on peut être amené à explorer en cartomancie nécessite de saisir rapidement et de façon structurée ce qu’implique chaque situation, et donc de se projeter dans chacune d’entre elles. C’est de cette façon que l’on peut adopter l’angle d’approche qui sera le plus pertinent, tant à travers la question formulée lorsqu’il y en a une qu’à travers la méthode de tirage que l’on choisira.

Aborder les grands principes qui régissent le Monde pour comprendre d’une part le support que l’on utilise et la discipline que l’on étudie et d’autre part les multiples situations auxquelles on sera confronté dans la pratique nécessite donc d’être capable d’ouverture d’esprit et de curiosité intellectuelle. Ainsi, on pourra remettre en perspective ses convictions personnelles pour ne pas les considérer comme universelles mais appréhender les choses sous différents angles et avec objectivité, ce qui rendra l’apprentissage et la pratique plus efficaces.

Il est donc indispensable de ne pas se restreindre à ce que l’on sait déjà – ou à ce que l’on croit savoir ! – ou à ce qui s’applique à notre cas personnel. Au contraire, plus on reste ouvert et curieux, plus on gagne en finesse et en pertinence dans la pratique, et plus l’exercice de la cartomancie est enrichissant !

 

Humilité

Contrairement aux idées reçues véhiculées par certains, la cartomancie n’est pas une affaire de don, mais de travail. Elle n’est pas innée, elle s’apprend. Par conséquent, le cartomancien n’est pas un prophète, mais un interprète. Il ne délivre donc pas des absolus ou des fatalités, il construit des interprétations de symboles au moyen d’un travail intellectuel rigoureux et d’un raisonnement minutieux. À ce titre, il n’évoque pas de vérités absolues, mais met en relief des possibilités de développement quant aux situations qu’il examine et fait ressortir des clefs pour comprendre ce qui se passe autour du consultant. Le cartomancien est un être humain comme les autres, et les compétences et savoir-faire qu’il a acquis ne le mettent pas à l’abri d’une erreur d’analyse.

C’est pourquoi il est très important lorsqu’on apprend la cartomancie de rester humble quant à nos propres capacités. Même l’esprit le plus affûté et le cartomancien le plus expérimenté peuvent commettre des erreurs d’interprétation. Il ne faut donc en aucun cas sous-entendre, dans l’attitude ou les termes employés, que l’on se place au-dessus du consultant, que l’on sait mieux que lui ou pire, que l’on connaît sa vie mieux que lui.

De la même manière, la cartomancie est une discipline formidable pour qui ressent une inextinguible soif d’apprendre car quel que soit le nombre d’années de pratique et d’étude, on continue d’approfondir ses connaissances aussi longtemps qu’on la pratique. L’humilité est donc une qualité inscrite dans la discipline elle-même, car nul, si expert soit-il, ne peut en revendiquer un savoir total et absolu, quel(s) que soi(en)t le(s) support(s) qu’il utilise.

Aborder la cartomancie avec humilité permet donc en premier lieu au cartomancien de rester à sa place par rapport au consultant en dressant la carte des possibles et non en assénant des absolus, adoptant ainsi une position d’aide plutôt qu’en se plaçant en supérieur. Ensuite, cela contribue à garder une forme de lucidité quant à ce que l’on fait et à rester conscient que quel que soit le chemin parcouru et l’expérience acquise, il reste toujours beaucoup plus à apprendre que ce que l’on sait et qu’il est toujours possible d’explorer d’autres aspects que ceux que l’on connaît déjà car en cartomancie, l’apprentissage n’est jamais vraiment terminé !

 

Patience, assiduité et ténacité

Si apprendre la cartomancie est à la portée de tous, cette démarche requiert toutefois de la patience, une assiduité soutenue, et de la ténacité. En effet, maîtriser ne serait-ce que les bases de cette discipline prend du temps, quel que soit le support étudié. Apprendre à se servir d’un jeu divinatoire, c’est prendre le temps d’en étudier les symboles, d’en comprendre le langage, et d’acquérir les outils et les notions qui permettront de développer les raisonnements adéquats lors de l’interprétation des cartes en contexte. Chacune de ces étapes demande un certain investissement – à la fois en temps et en énergie – à l’apprenant, car assimiler ces connaissances puis mettre en œuvre les mécanismes intellectuels qui régissent l’analyse n’est pas aussi évident qu’on pourrait le croire. Inutile, donc, de vouloir brûler les étapes ou accélérer l’apprentissage car ce serait contre-productif : sans avoir acquis les bases, impossible de progresser ! Pour apprendre la cartomancie, il faut donc dès le départ s’armer de patience et être conscient que si l’on est désireux de bien faire les choses, le temps sera un allié.

De la même manière, une bonne progression ne peut se construire qu’en se montrant constant dans les efforts que l’on fournit et régulier dans le travail. S’il est en effet important d’envisager l’apprentissage de la cartomancie sur la durée, il est également indispensable de s’y consacrer avec une certaine constance car comme beaucoup d’autres, cette discipline s’acquiert sur les bases d’un contact et d’un entraînement réguliers : assimiler les différentes notions qui permettent d’élaborer les raisonnements appropriés est un travail intellectuel nécessitant une gymnastique d’esprit particulière. Or, le travail qui mène à l’assouplissement de l’esprit du cartomancien n’est pas très différent de celui qui mène le sportif à assouplir son corps ou le musicien à acquérir certains réflexes, à maîtriser certains déplacements et positions pour être plus à l’aise dans la pratique de son instrument. De la même façon que l’un et l’autre répètent leurs exercices régulièrement pour développer leurs performances, leur aisance et leur dextérité, le cartomancien en herbe doit être régulier dans son travail et faire preuve d’assiduité en cours s’il souhaite progresser efficacement.

Par extension, apprendre la cartomancie demande d’être persévérant. Ce n’est pas parce que cette discipline est accessible à tous qu’elle ne comporte pas son lot de difficultés ; toutefois, celles-ci sont surmontables à force de ténacité, de concentration et de détermination. Si vous êtes de ceux qui abandonnent aux premières difficultés, alors vous aurez beaucoup de mal à tirer parti de cet art, à en saisir les nuances et à appréhender toute l’étendue de ce qu’il offre. Si au contraire les difficultés ne vous font pas peur, si vous les envisagez comme des défis à relever et que vous appréciez de passer du temps sur une notion, sur un exercice ou sur un point technique pour apprendre à le maîtriser de façon satisfaisante, alors la cartomancie sera pour vous une discipline stimulante intellectuellement et valorisante sur le plan personnel puisque ce que vous apprendrez en l’étudiant vous apportera beaucoup en termes de connaissance de vous-même, d’autrui, et des mécanismes qui influencent les événements. Plus vous saurez faire preuve de ténacité, plus vos efforts seront récompensés !

 

De la rigueur, et encore de la rigueur

La cartomancie est une discipline qui requiert une grande précision dans tout ce que l’on fait car sans cette dernière, impossible de produire une analyse minutieuse et de trouver un sens cohérent à la manière dont s’agencent dans un tirage les symboles portés par les cartes. Aussi, il faut dès le départ veiller à être attentif à chaque geste que l’on fait, à chaque mot que l’on utilise, afin d’en saisir la signification et d’en percevoir les nuances. Les mots que l’on emploie ont par exemple un sens très précis et penser pouvoir substituer l’un à l’autre peut dans certains cas avoir des conséquences non négligeables sur ce que l’on exprime et la manière dont cela est perçu, à la fois par nous-même et par le consultant. Ainsi, certains mots, qui peuvent être synonymes dans d’autres contextes, ne le sont pas en cartomancie.

De la même manière, le respect et l’application de la méthodologie spécifique au(x) support(s) que l’on étudie sont indispensables à une bonne pratique, sans quoi on risque de compromettre la qualité du travail que l’on effectue. La rigueur est donc de mise en cartomancie car l’approximation, la désorganisation et le désordre n’y ont pas leur place, tant dans l’acquisition de connaissances que dans la pratique. Plus on se montre rigoureux, mieux on progresse : en avançant plus rapidement dans son apprentissage, en comprenant mieux les nuances des tirages que l’on exécute, et en développant une finesse d’analyse à la fois dans les tirages et dans la perception des mécanismes qui régissent les événements auxquels on est confronté dans la pratique, le tout en construisant une connaissance approfondie du support que l’on emploie.

Si cela peut vous paraître contraignant au début, vous astreindre dès le départ à une grande rigueur vous fera au contraire gagner du temps et vous facilitera grandement le travail, que vous souhaitiez exercer la cartomancie à titre personnel ou professionnel. Certes, il est des gestes et des règles de langage qui vous sembleront difficiles à assimiler car a priori contre-intuitifs, mais avec un peu de persévérance, ils deviendront vite des réflexes dont vous n’aurez même plus conscience une fois qu’ils seront acquis. Vous pourrez alors vous tourner vers l’approfondissement des connaissances et des techniques et mobilisant votre concentration sur des points plus complexes tout en continuant à pratiquer des choses plus simples avec plaisir !

Adoptez une méthodologie simple… mais efficace !

Vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté pour assurer la bonne progression de votre apprentissage et garantir la réussite de celui-ci ? Ces quelques conseils et astuces vous y aideront, à condition bien sûr de ne pas faire l’impasse sur les points qui ont été évoqués plus haut !

 

La régularité est la clef de la réussite !

C’est par la répétition que l’on apprend, et ce point est commun à toutes les disciplines, qu’elles soient artistiques, sportives ou artisanales. La maîtrise des compétences, des savoir-faire et des techniques résulte de l’entraînement régulier de l’apprenant et de sa capacité à être constant dans l’effort : de la même manière que le musicien ne peut acquérir – et conserver – sa dextérité sans répéter régulièrement certains exercices, le cartomancien en herbe aura beaucoup de mal à progresser s’il ne travaille pas régulièrement.

Mieux vaut en effet s’exercer peu de temps mais souvent et régulièrement qu’une fois de temps en temps, à des intervalles variables et sur des durées plus longues. En d’autres termes, mieux vaut consacrer (par exemple) vingt minutes par jour de travail personnel à la discipline que vous étudiez qu’y consacrer une séance de trois heures de temps en temps ! Vous progresserez bien plus rapidement – car votre rythme sera constant – en vingt minutes par jour qu’en vous infligeant des séances trop longues (et donc fatigantes) lorsque l’envie vous en prend.

Si ceci est valable pour le travail personnel, ça l’est également en ce qui concerne les cours particuliers : vous progresserez beaucoup mieux et vous familiariserez bien plus facilement avec les notions et les techniques propres à la cartomancie en optant pour un rythme régulier dans vos cours. Bien sûr, chacun fait en fonction de ses moyens matériels (temps, argent), mais mieux vaut une heure de cours par mois qu’un bloc de trois heures une fois de temps en temps ! Si la fréquence et la durée des cours dépend du budget et de l’emploi du temps de chacun, privilégiez dans tous les cas la régularité des séances… et de votre travail personnel entre chacune d’elles ! Vous avancerez certes moins vite au rythme d’une heure de cours par mois qu’à une heure et demie ou deux heures par semaine, mais votre progression sera beaucoup plus stable et solide qu’en trois heures de temps en temps, et c’est ce qui compte.

 

Tenez un journal !

Tenir un journal de bord est un bon moyen de se rendre compte des progrès que l’on fait et, à chacune des grandes étapes de son apprentissage, de prendre conscience du chemin que l’on a parcouru depuis le début. Non seulement le journal est un élément utile dans la vie de tout cartomancien, mais il a aussi pour fonction de valoriser le travail fourni puisqu’il est un témoin de chaque pas que l’on fait.

Au quotidien, le journal sert à consigner les tirages que l’on effectue, mais aussi – vous pouvez pour cela utiliser un deuxième journal – à noter ce que l’on apprend sur telle ou telle lame dans des contextes que l’on n’avait pas rencontrés auparavant et à inscrire les observations que l’on peut faire sur le support que l’on utilise, sur ses fonctionnements, sur les lames et les détails que l’on n’aurait pas remarqués jusqu’alors, etc. Il s’agit d’y enregistrer les découvertes que l’on fait au fil du temps, de formuler et de fixer les questions que cela peut soulever, et d’identifier de nouvelles pistes de réflexion à explorer afin de progresser encore et toujours.

Pour ce faire, je vous recommande vivement de tenir deux journaux en parallèle : l’un rassemblera les tirages que vous effectuez, tandis que l’autre sera dédié aux remarques, aux observations et aux questionnements relatifs à votre jeu et à ses fonctionnements. Côté support, optez pour celui que vous préférez à chaque fois : il peut s’agir de simples cahiers ou de jolis carnets (type Moleskine, Paperblanks, etc.), l’essentiel étant que vous ayez plaisir à en faire vos outils de travail.

En ce qui concerne votre journal de tirages, notez à chaque fois la date à laquelle vous avez effectué le tirage, ainsi que le nom du tirage, le support utilisé, l’objet du tirage (pourquoi vous l’avez fait) ou la question posée, puis reproduisez le schéma du tirage que vous avez obtenu en identifiant clairement les cartes. Rédigez ensuite votre interprétation du tirage le plus précisément possible en prenant soin de faire des phrases complètes et de mettre en évidence les liens entre les idées (une analyse est un raisonnement structuré et non une juxtaposition désordonnée d’idées sans rapport les unes avec les autres !). Une fois que la situation examinée a évolué ou que les événements sont arrivés à leur terme, revenez sur votre tirage et sur votre interprétation, et comparez ce qui s’est passé avec ce que vous aviez écrit. Replongez-vous alors dans le tirage afin de voir de quelle manière celui-ci exprimait ce qui s’est finalement passé et notez-le dans une couleur différente, sans omettre de faire figurer la date du jour. De cette façon, vous approfondirez peu à peu votre compréhension des fonctionnements du support que vous étudiez et affinerez vos qualités d’observation et d’analyse… et donc vos connaissances !

Votre journal d’exploration et de suivi pourra quant à lui rassembler toutes vos observations, vos remarques, vos questionnements et pistes de réflexion et être organisé chronologiquement. À chaque nouvelle entrée, n’oubliez pas de mentionner la date et lorsque vous en rédigez le contenu, n’hésitez pas par exemple à utiliser des couleurs différentes selon les thèmes et les domaines que vous abordez ou toute autre méthode (système de symboles, etc.) qui pourra faciliter la recherche rapide d’informations en cas de besoin. Peu à peu, vous compilerez une somme d’éléments qui vous seront utiles tout au long de votre vie de cartomancien et qui vous encourageront à aller plus loin dans votre apprentissage et dans votre pratique jour après jour tout en valorisant le chemin déjà parcouru !

Bien sûr, si cela vous est plus commode à l’usage, vous pouvez également ne tenir qu’un seul journal qui réunira vos tirages et vos explorations. Il vous suffit pour cela de noter vos tirages et vos remarques diverses toujours chronologiquement en prenant soin de bien inscrire la date pour chaque entrée et de bien identifier la nature de vos écrits. Par exemple, utilisez des couleurs différentes pour vos tirages et pour vos observations, ou un système de symboles au sein duquel chaque signe correspondra à un type d’information. Vous pouvez aussi décider de distinguer le type d’informations en jouant sur le sens de votre carnet, en l’ouvrant dans le sens habituel pour y enregistrer vos remarques et observations, et en le retournant (en le positionnant à l’envers pour qu’il s’ouvre à partir de la dernière page) pour y consigner vos tirages.

Quelle que soit la méthode que vous adoptez, l’essentiel est que vous la trouviez pratique. Certains préféreront deux journaux distincts tandis que d’autres trouveront plus approprié de tout réunir en un seul journal. Peu importe du moment que votre journal (ou vos journaux) est (sont) fonctionnel(s) !

Mon conseil : il est bien sûr possible de tenir un journal de bord électronique, mais je vous recommande vivement de privilégier plutôt la rédaction manuelle. En effet, la manière dont on écrit n’a pas le même impact sur le processus d’apprentissage et d’assimilation des connaissances, ni sur la réflexion. Lorsqu’on écrit à la main, la connexion avec le cerveau n’est pas la même que lorsqu’on se sert d’un clavier d’ordinateur. L’écriture manuelle rend cette connexion plus directe et elle est beaucoup plus propice à la stimulation de la réflexion, de la mémoire et de tout ce qui facilite l’assimilation des informations. De plus, l’aspect mécanique de l’écriture manuelle éveillera la mémoire corporelle, ce qui vous aidera à vous souvenir de ce que vous aurez écrit puisqu’en plus d’être inscrites dans votre journal, les informations seront également inscrites dans votre corps, qui transmettra ce souvenir à votre esprit le moment venu. En écrivant à la main, vous aurez donc moins de mal à construire vos raisonnements, à connecter les idées, à développer vos réflexions, et à assimiler les connaissances !

Cet exercice pourra vous sembler fastidieux au début, mais écrire est comme travailler un muscle : cela paraît laborieux les premiers temps puis l’habitude aidant, cela devient plus facile et plus naturel au fur et à mesure que l’on s’exerce. Ainsi, tenir un journal finira par vous paraître naturel et deviendra même rapidement un automatisme !

 

Prenez le temps de bien faire les choses !

En cartomancie, le « vite fait, bien fait » n’existe pas : faire connaissance avec un support prend du temps, de même qu’acquérir les techniques d’interprétation, maîtriser les méthodes de tirage ou déchiffrer un tirage. Inutile, donc, de penser pouvoir faire tout cela « sur le pouce » ou à la va-vite ! La cartomancie est une discipline dont l’apprentissage et la pratique nécessitent calme et concentration. Il est donc très important dès le départ de prendre conscience de cet aspect et de se résoudre à consacrer du temps à l’étude et à l’entraînement.

Ainsi, évitez par exemple de faire des tirages lorsque vous n’avez que peu de temps devant vous car vous risqueriez d’être moins observateurs et de passer à côté d’éléments importants ou de bâcler vos analyses. Au contraire, prenez le temps dont vous avez besoin pour faire les choses calmement car c’est ainsi que vous pourrez acquérir les bons automatismes d’une part, et vous poser les bonnes questions d’autre part pour construire les raisonnements qui vous mèneront à formuler vos interprétations. Prendre le temps de s’interroger et de considérer chaque détail est indispensable à une bonne analyse, et ce quelle que soit la méthode de tirage utilisée.

De la même façon, lorsque vous vous penchez sur des notions propres au support que vous avez choisi, prenez le temps de le faire à tête reposée afin de bien percevoir la manière dont s’articulent les idées et les nuances qui sont exprimées. Gardez à l’esprit qu’il est impossible de saisir en un seul coup d’œil toutes les dimensions, implications et applications de ce qui vous sera présenté durant votre apprentissage. Certaines notions vous donneront même du fil à retordre, mais prendre le temps de les décortiquer et d’y réfléchir vous aidera à vous familiariser avec ces dernières.

Si vous vous lancez dans l’apprentissage de la cartomancie, vous devrez donc vous résoudre à y consacrer le temps nécessaire et à ne pas chercher à faire vite à tout prix. Plus vous vous astreindrez à consacrer à votre travail le temps qui lui est nécessaire, plus vite – et mieux ! – vous progresserez. Si à l’inverse vous vous obstinez à opter pour le « vite fait » et à bâcler votre travail, vous ne gagnerez pas de temps, bien au contraire !

Mon conseil : lorsque vous travaillez, prenez l’habitude de vous installer confortablement dans le calme et assurez-vous d’avoir du temps devant vous. Si cela vous aide à vous détendre et à prendre votre temps, accompagnez votre séance de travail d’un thé, d’un café, d’un chocolat chaud ou de ce qui vous fera plaisir, l’idéal étant de créer une atmosphère propice à la concentration. Ainsi, vous pourrez vous livrer à une séance de travail efficace et prendre plaisir à ce que vous faites !

 

Pendant les cours, prenez des notes !

Pendant les cours, ayez toujours de quoi écrire à portée de main, et prenez des notes. Cela vous permettra de fixer les informations qui vous sont transmises durant chaque séance, et vous pourrez vous y replonger entre les cours pour vérifier que vous avez bien compris chacun des points abordés, ce qui vous assurera une bonne progression.

Vous pouvez bien sûr prendre des notes au brouillon pendant les cours puis les mettre au propre et les organiser une fois le cours fini, ou conserver vos notes originelles et travailler directement à partir de celles-ci. Quelle que soit la méthode que vous utilisez, veillez toutefois à ce que vos notes restent lisibles y compris dans le temps : si vous utilisez une abréviation ou un symbole inhabituels, pensez à les définir dans la marge ou quelque part sur votre page afin de ne pas en oublier la signification durant les lectures ultérieures !

Si la prise de notes peut vous paraître laborieuse dans un premier temps, c’est un processus auquel vous vous habituerez avec la pratique. En l’expérimentant, vous vous apercevrez rapidement que la prise de note facilitera votre travail d’apprentissage puisqu’en écrivant manuellement les principales idées qui sont évoquées en cours, vous activez déjà le processus d’assimilation qui vous les fera intégrer durablement ! Bien évidemment, cela ne vous dispense pas de relire vos notes et, au besoin, de les annoter ou de les commenter entre les cours mais aussi régulièrement pour les compléter ou pour revoir certaines notions, bien au contraire. En vous relisant régulièrement, il est fort probable que des questions émergent par rapport à ce que vous aurez écrit car au fur et à mesure de votre progression, vos connaissances et vos capacités d’analyse s’affineront, ce qui vous permettra d’approfondir la plupart des notions déjà appréhendées et d’en avoir une meilleure compréhension. Vous pourrez alors poser vos questions au cours suivant si le besoin s’en fait sentir.

 

Évitez de vous éparpiller !

La cartomancie est une discipline passionnante, et ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire ! Or, l’enthousiasme que l’on ressent à l’égard de toute nouvelle discipline que l’on aborde peut être soit un formidable moteur nous permettant d’avancer plus rapidement sur le long chemin de la découverte et de l’apprentissage, soit nous ralentir considérablement si l’on ne parvient pas à se canaliser. Pour tout débutant, le risque de se disperser est grand, et il n’est pas rare pour les apprenants de vouloir « tout savoir tout de suite » ou de vouloir avoir accès à toutes les bonnes références tout de suite. Si l’ouverture d’esprit et la soif de connaissance sont bien sûr à encourager, il ne faut cependant à aucun moment oublier que votre apprentissage sera bien plus efficace si vous faites les choses dans le bon ordre que si vous partez à la pêche aux informations selon ce que vous pensez être approprié à votre stade d’apprentissage !

Au lieu de vous aider à progresser plus rapidement, cela aurait au contraire pour effet de vous ralentir. L’apprentissage de la cartomancie se fait de façon structurée, en abordant les différentes notions lorsque le moment est opportun et dans l’ordre qui convient. Ainsi, lorsque nous travaillons sur les questions d’éthique, inutile de vouloir absolument évoquer les significations des cartes et leur symbolique : ce n’est pas le propos, sans doute parce que nous n’en sommes pas encore là dans votre progression. Il y a un temps pour tout, et les cours particuliers sont structurés de manière à vous aider à aborder les différents aspects de la cartomancie dans l’ordre qui vous facilitera la tâche en matière d’apprentissage !

N’oubliez pas que l’acquisition de solides compétences nécessite du temps, du travail, et de la méthode. Il est par conséquent inutile de vouloir tout aborder dès le départ pensant que l’on avancera plus vite ou de chercher à explorer chaque aspect qui se présente au détour d’une notion car vous risqueriez de vous éloigner du chemin principal et de vous perdre ! Certes, la cartomancie est une discipline très riche et très enrichissante et il peut être difficile de canaliser sa soif d’apprendre, mais moins vous vous éparpillerez, mieux vous avancerez… et plus vite vous progresserez !

Soyez enthousiastes… mais réalistes !

Selon la manière dont il est canalisé, l’enthousiasme peut être un ami et un moteur, comme il peut se révéler un ennemi ou un frein pour l’apprenant. Attention, donc, à ne pas vous laisser emporter car il serait dommage qu’il fasse obstacle à vos progrès et à votre épanouissement dans votre apprentissage ! Se montrer passionné et plein de bonne volonté est toujours apprécié, mais gare aux excès qui risqueraient de vous faire perdre le sens des réalités !

 

Apprendre la cartomancie : un travail de longue haleine

Avant de vous lancer dans l’apprentissage de la cartomancie, vous devez prendre conscience que ce faisant, vous vous engagez sur un long chemin parsemé tantôt de difficultés, tantôt de moments d’émerveillement et de satisfaction. Aussi, si vous vous attendez à être pleinement autonomes avec votre support en quelques cours à peine, revoyez vos ambitions !

La cartomancie est une discipline complexe au sens où il est nécessaire d’acquérir des connaissances affûtées et de se forger de solides compétences dans plusieurs domaines complémentaires si l’on souhaite bâtir une pratique saine et efficace reflétant la profondeur du support que l’on utilise. Or, saisir toute cette complexité et s’y retrouver afin de produire des analyses pertinentes et de mesurer la diversité des nuances véhiculées par l’outil dont on se sert n’est possible que sur la durée. Cela demande du temps, de la réflexion, de la remise en question parfois, et beaucoup, beaucoup de patience. Se dire par exemple que l’on va prendre des cours pendant un temps déterminé pour apprendre le tarot (ou tout autre support) et s’attendre à tout savoir sur le jeu en question au bout de ce délai est donc totalement illusoire. Ce n’est pas parce que vous souhaiterez apprendre une certaine quantité de connaissances en un temps donné que la chose sera possible : chacun progresse à son rythme, et c’est en grande partie ce qui fait l’efficacité des cours particuliers car il ne servirait à rien de débiter des notions sans s’assurer que vous les ayez comprises avant de passer aux points suivants. Quantité et qualité ne sont pas la même chose : mieux vaut aborder peu de notions mais que celles-ci soient maîtrisées et assimilées plutôt que d’en énumérer une pléthore qui vous laisserait circonspects et que vous ne comprendriez pas !

En décidant d’apprendre la cartomancie, vous acceptez donc le principe d’un apprentissage long au cours duquel les découvertes seront nombreuses. D’ailleurs, si l’on sait quand on commence cet apprentissage, nul ne peut se targuer de le terminer un jour car la richesse de la cartomancie réside aussi dans le fait d’être en apprentissage perpétuel lorsqu’on la pratique, que ce soit à titre privé ou professionnel. Nul ne peut en effet prétendre posséder le savoir absolu concernant quelque support que ce soit, car l’une des qualités essentielles de la cartomancie est de toujours réserver des surprises à celui qui la pratique, et ce même après des années (voire des décennies) d’expérience. Ainsi, son étude est sans fin, ce qui est bien sûr un formidable moteur pour ceux dont la soif d’apprendre ne tarit jamais ! En d’autres termes, si vous aimez apprendre et si vous êtes curieux de nature, la cartomancie sera pour vous comme une fenêtre ouverte sur une infinité de connaissances et de domaines sur lesquels vous vous pencherez au fur et à mesure de votre progression !

 

Ayez confiance en la méthode !

Si vous faites appel à moi pour vous accompagner dans votre apprentissage de la cartomancie, vous acceptez mon approche rationnelle issue de mes années de pratique et de recherche en Sciences Humaines, ce qui signifie par extension que vous acceptez ma méthode et que vous avez confiance en mon expertise. Vous reconnaissez donc qu’ayant fait le chemin de l’apprentissage avant vous, j’en connais les difficultés et les points sensibles et que je suis capable de vous guider dans ses méandres pour vous éviter de tomber dans ses principaux écueils. En plus de mon expérience de la cartomancie, je mets à votre disposition celles de la pédagogie et de la recherche, ce qui me donne le recul nécessaire pour avoir une vue d’ensemble de ce qu’implique la discipline que vous avez choisi d’étudier. Voilà qui me permet de tracer, pour chacun d’entre vous, l’itinéraire qui vous aidera à atteindre le but que vous vous êtes fixés de la manière la plus efficace possible.

Or, pour y parvenir et pour que les cours fonctionnent, une relation de confiance doit s’installer entre vous et moi. Si vous n’avez pas confiance en ma méthode ou la remettez sans cesse en question en me demandant constamment de justifier pourquoi on aborde tel point et non tel autre que vous croyez « plus important », il sera impossible d’avancer. Avoir un esprit critique, c’est bien. L’employer à bon escient, c’est mieux, et c’est chercher à comprendre comment fonctionnent les choses en étant curieux et en favorisant une démarche d’ouverture et de réflexion. Quelqu’un qui conteste tout sans savoir de quoi il est réellement question n’ira pas loin. Attention : je ne dis pas qu’il ne faut jamais poser de questions ou ne jamais s’intéresser à la structure des cours que l’on suit, mais il y a une grande différence entre tester sans cesse l’enseignant pour essayer de le mettre en défaut et se montrer simplement curieux de la logique et du fonctionnement des choses.

Apprendre, c’est faire confiance à la personne que l’on a choisie pour nous accompagner car on estime qu’elle connaît son domaine et qu’elle a déjà parcouru le chemin sur lequel on est sur le point de s’engager. Si l’on souhaite apprendre auprès de cette personne, c’est que l’on a envie de connaître ses méthodes de travail et de les appliquer. Or, qui, mieux que cette personne, sait quelles étapes franchir – et dans quel ordre – pour y arriver ? Le rôle de l’enseignant est de vous faciliter le parcours et de vous le rendre le plus fluide et le plus agréable possible, et c’est exactement ce que je fais durant les cours en vous aidant à avancer progressivement. Chaque chose vient donc en son temps, lorsque vous êtes prêts, pour éviter autant que possible tout éparpillement et toute confusion. Cela vaut pour les notions que vous attendez d’étudier avec impatience comme pour les recommandations de lecture (ouvrages, sites Internet) qui ne vous sont proposées que lorsque vous disposez des connaissances nécessaires pour les appréhender.

Faire confiance à la méthode – et donc à l’enseignant – revient donc à vous assurer un parcours dont les principaux obstacles auront été écartés. Votre progression gagnera nécessairement en fluidité et en rapidité, ce qui vous permettra par conséquent de profiter plus rapidement et plus pleinement de votre support et d’en tirer satisfaction !

 

Ne brûlez pas les étapes !

Vouloir à tout prix aller plus vite que la musique est souvent une très mauvaise idée, y compris en cartomancie, et chercher à brûler les étapes ne vous apportera que déconvenue sur déconvenue. J’ai souligné plus haut l’importance de se concentrer sur chacune des étapes de l’apprentissage dans l’ordre où elles se présentent afin d’acquérir de solides compétences qui seront complétées par d’autres au fur et à mesure de votre progression, et je ne peux qu’appuyer ce point une nouvelle fois en rappelant qu’il est inutile et contre-productif de vouloir absolument anticiper les points abordés. En effet, mieux vaut construire directement de bonnes connaissances et de bons réflexes plutôt que d’en acquérir de mauvais qu’il faudra corriger !

De la même façon, ne pensez pas devenir professionnels et gagner de l’argent avec vos cartes après quelques cours à peine ! Que vous vous engagiez dans un apprentissage dans le but un jour de faire de cette discipline votre métier est tout à fait louable et je ne peux que vous y encourager, mais penser démarrer une activité professionnelle parce qu’on réussit quelques tirages n’est pas réaliste. En effet, la cartomancie n’est pas qu’une histoire de technique. Ce n’est pas parce que l’on connaît bien son support et que l’on maîtrise de multiples méthodes de tirage que l’on est prêt à en faire son métier !

En plus des connaissances théoriques et techniques, il est indispensable d’acquérir une certaine maturité dans la pratique et dans la façon d’envisager la discipline que l’on exerce. Or, cela ne peut se faire dans une longue expérience pratique de la cartomancie, au cours de laquelle on se confrontera à différentes personnes et à des situations variées qui permettront d’affiner notre vision de la discipline que l’on exerce. Pour cela, il faut pratiquer la cartomancie régulièrement pendant un certain temps (comptez plusieurs années) en se confrontant à des contextes et à des problématiques différents. C’est ainsi que l’on acquerra non seulement une bonne compréhension concrète des supports que l’on manipule, mais aussi une bonne compréhension de l’humain dans toute sa complexité et ses nuances, qui sont des ingrédients complémentaires et indissociables sans lesquels il est impossible de toucher du doigt toutes les implications relatives aux situations que l’on examine. De la même manière, la compréhension profonde des mécanismes et des dynamiques à l’œuvre ne s’acquiert qu’avec l’expérience de la cartomancie, certes, mais aussi de la vie !

Penser apprendre rapidement les rudiments de la cartomancie pour en faire son métier sur un coup de tête ou « parce que ça a l’air cool » ou peu fatigant est donc une grossière erreur. On apprend la cartomancie en premier lieu parce qu’on s’y intéresse, parce qu’on est curieux de savoir comment cela fonctionne, parce qu’on s’intéresse à l’ésotérisme, parce qu’on a envie de mieux se comprendre et de mieux comprendre le Monde qui nous entoure, parce qu’on souhaite avoir à disposition un formidable outil d’analyse qui se révélera une aide précieuse dans les moments de doute et les situations difficiles. Pas « pour se faire de l’argent », et encore moins parce que c’est « facile » et « peu fatigant ». Ceux qui ont cette vision des choses ne connaissent pas cette discipline, sans quoi ils auraient une idée de l’énergie qu’elle mobilise à tous les niveaux !

Si vous souhaitez devenir professionnel en cartomancie, la route sera longue. Vous devrez bien sûr apprendre – et maîtriser – les connaissances, les compétences et les savoir-faire propres aux supports que vous utilisez, mais vous devrez aussi vous forger une solide expérience qui vous apportera de la maturité dans la pratique et dans la façon dont vous envisagerez votre activité. En cours particuliers, je peux bien sûr vous accompagner sur le chemin de la professionnalisation et suivre votre progression, et nous pouvons échanger autour de vos expériences pour vous aider à construire votre pratique, mais ce sera toujours à vous d’acquérir l’expérience de la pratique qui vous permettra de décider si vous souhaitez réellement passer le cap de la professionnalisation.

Pour aller plus loin

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Vous souhaitez commencer votre apprentissage ? Prenez connaissance des conditions et informations relatives aux cours particuliers par téléphone, par Telegram et en face à face sans plus tarder, et n’hésitez pas à me contacter pour toute question ou pour mettre en place votre apprentissage !

SUR LA PHOTO :
Les jeux :
Universal Waite Pocket Tarot Deck (Arthur Edward Waite, Pamela Colman Smith, Mary Hanson-Roberts). Stamford, CT: U.S. Games Systems, Inc., 2004 [1991].
The Rider Tarot Deck (Arthur Edward Waite, Pamela Colman Smith). Stamford, CT: U.S. Games Systems, Inc., 2007 [Rider: 1911; U.S. Games Systems, Inc.: 1971, 2005] .
The Smith-Waite Centennial Tarot Deck (Arthur Edward Waite, Pamela Colman Smith). Stamford, CT: U.S. Games Systems, Inc., 2009 [Rider: 1909; U.S. Games Systems, Inc.: 1971].
Oracle Belline (Jules Charles Ernest Billaudot/Mage Edmond, Marcel Forget/Belline). Paris : Grimaud, 1961.
Madame Endora’s Fortune Cards (Christine Filipak & Joseph Vargo). Cleveland, OH: Monolith Graphics, 2003.
Petit Lenormand (éd. Carta Mundi).

Les carnets :
Série “Nova Stella”, modèle “Astra”, format Ultra, Paperblanks.
Série “The New Romantics”, modèle “Peacock Punk”, format Midi, Paperblanks.

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